L'enfant De Buchenwald

December 6, 2020, 8:11 am

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Enfant de Buchenwald ( Nackt unter Wölfen) est un téléfilm allemand réalisé par Philipp Kadelbach et diffusé en 2015 sur ARD [ 1]. Il s'agit de l'adaptation du roman Nu parmi les loups (de) de Bruno Apitz publié en 1958 [ 2], lui-même inspiré d'une histoire vraie (de). Synopsis [ modifier | modifier le code] En avril 1943, alors que sa femme attend un enfant, Hans Pippig est déporté au camp de concentration de Buchenwald. À son arrivée, le Kapo André Hofel, à la tête d'un réseau de résistants au sein du camp, le prend sous son aile en souvenir de l'amitié qu'il portait à son père. Deux années plus tard, un Polonais, Marian, arrive au camp avec une valise dans laquelle Hans découvre un enfant juif de 3 ans, Stefan. Hans, le Kapo Hofel et un groupe de prisonniers décident de le protéger au péril de leur vie.

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On ne voulait pas nous croire. On nous demandait: "Comment ça se fait que vous êtes vivant? Parler devenait suspect. Vous ne pouvez pas fonder une famille, apprendre un métier, en pensant à ce passé. J'ai choisi volontairement le silence. J'ai même refusé de parler à mes enfants. Mais le jour où mon fils m'a dit qu'il voulait aller à Auschwitz, je suis parti avec lui pour lui raconter. » « L'Enfant de Buchenwald », mercredi 8 avril, à 20h55, sur M6.

Parmi elles, des Français: la figure du Parti radical Édouard Daladier; celle du socialisme français Léon Blum; un proche de Georges Clemenceau, Georges Mandel; un ancien président du Conseil, Paul Reynaud, ou encore Léon Jouhaux, fondateur et président de la CGT-FO (1948) et prix Nobel de la paix (1951).

Les nazis déportèrent des adultes, hommes et femmes, mais des enfants aussi. Ceux qui ne furent pas assassinés dans les camps de mise à mort immédiate (Auschwitz, Treblinka, Chelmnö etc) se retrouvèrent à Buchenwald. La plus douloureuse des expériences fut d'abord pour eux la séparation brutale de leur mère. Beaucoup d'entre eux, avant d'arriver à Buchenwald, avaient d'abord connu d'autres camps, survécu aux marches de la mort lorsque fin 44 et début 45, les camps d'Europe de l'Est furent évacués à l'approche des troupes de libération soviétiques. Ces orphelins au passé assassiné racontèrent aux armées de libération américaines, anglaises et soviétiques en 1945, avec précision et objectivité, ce qu'avait été leur réalité concentrationnaire. Le pire ne leur était pas arrivé à Buchenwald, où ils trouvèrent au contraire, une résistance extraordinaire qui s'organisa autour d'eux pour leur survie. Neuf cents enfants sortirent vivants du camp de Buchenwald le 11 avril 1945. Tout fut mis en oeuvre pour soustraire les enfants à brutalité, la cruauté et la pédérastie des certains SS et criminels du camps, les nourrir, et même les instruire.

Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse Photos VOD Blu-Ray, DVD noter: 0. 5 1 1. 5 2 2. 5 3 3. 5 4 4. 5 5 Envie de voir Rédiger ma critique Synopsis et détails En avril 1943, alors que sa femme attend un enfant, Hans Pippig est déporté au camp de concentration de Buchenwald. À son arrivée, le Kapo André Hofel (à la tête d'un réseau de résistants au sein du camp) le prend sous son aile, en souvenir de l'amitié qu'il portait à son père. Deux années passent et au printemps 1945, les alliés passent le Rhin. Quelques semaines avant la libération de Buchenwald, un Polonais, Marian, arrive au camp avec une valise dans laquelle Hans découvre un enfant juif de 3 ans, Stefan. Sa découverte par les SS entraînerait inévitablement sa mort. Hans, le Kapo Hofel et un groupe de prisonniers décident de le protéger au péril de leurs vies. Hofel et Marian sont torturés pendant des semaines par un SS sadique, sans jamais rien avouer concernant l'enfant et ses protecteurs. Malgré le danger de mort qui pèse sur lui, Hans est prêt à tout pour sauver Stefan dans lequel il voit l'enfant qu'il aurait dû avoir avant d'être déporté.

"Si nous ne sommes pas capables de protéger un enfant, alors nous ne sommes plus rien! " revient comme un leitmotiv tout au long de ce film allemand. Et c'est ce qui fait son intérêignant constamment dans une lumière vert-de-gris, le film a des allures de docu-fiction. Et le scénario, soucieux du devoir de mémoire, n'occulte ni l'extrême violence des SS ni les luttes intestines parmi les prisonniers qui luttaient pour leur survie. Les scènes de torture, terribles, sont contrebalancées par le rire du entendu, Stefan n'était pas le seul enfant du camp. À la libération, ils étaient 900, âgés de 3 à 20 ans, destinés à la mort et sauvés par les déportés. Ce qui n'a empêché ni la malnutrition ni les mauvais traitements. Ce sont des fantômes d'enfants que les Américains ont trouvé dans l'enceinte de Buchenwald. Y compris le petit Stefan, qui fut envoyé en Israël. Il vit aujourd'hui en Hongrie et a écrit un livre pour remercier ses sauveurs. Quant aux autres enfants, ils ont mis des années à envisager de se construire une vie.

À réapprendre à rire, et surtout à pleurer. Nathalie Crespeau

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